mardi 14 décembre 2010

Kia Sportage 2011 : Nous l’avons aimé!

ImagePlusieurs mois ont passé depuis l’événement médiatique organisé par Kia pour présenter aux journalistes automobiles canadiens son tout nouveau Sportage. Le constructeur avait mis la gomme, réservant quatre jours à notre horaire chargé pour nous faire découvrir son bébé au long d’un parcours de centaines de kilomètres entre le Yukon et l’Alaska. Certains diront que les paysages splendides et l’environnement enchanteur pourraient fausser nos impressions sur le véhicule. Peut-être. Mais je crois que cette stratégie qu’utilisent certains fabricants pour faire oublier les petits aspects négatifs d’un véhicule peut devenir une lame à double tranchant. Pour quelle raison? Parce que si la voiture est inconfortable, tant en ce qui a trait au soutien ou au revêtement des sièges qu’au roulement, à l’insonorisation ou à l’ergonomie de l’habitacle, on ne pourra pas l’oublier. Surtout sur un trajet aussi long.

Kia Sportage, un compagnon de route agréable

C’est avec mon collègue que j’ai eu le plaisir de rouler pendant cette aventure extraordinaire en pleine nature, à la fin du mois de juillet. Nous avons tous les deux été séduits par le comportement routier du Sportage, vous en apprendrez davantage en lisant toutes nos impressions plus bas.
En tant que compagnon de voyage, le multisegment de Kia est un excellent choix. Cependant, comment se débrouille-t-il dans la conduite quotidienne?  Offre-t-il  la polyvalence recherchée par les consommateurs lorsqu’il s’agit de faire les courses, emmener les enfants à la garderie ou à l’école, aider des amis à déménager, transporter des matériaux de construction ou de l’équipement sportif? Notre collaborateur Guy Corriveau s’est joint à nous pour un deuxième essai du Sportage 2011. Cette fois-ci, chacun a essayé le véhicule pendant une semaine sur nos routes québécoises.
Alors, trêve de bavardage, passons au vif du sujet.
Bonne lecture!
Sylvie Rainville

Le Sportage, un concurrent sérieux

Par Jean-Pierre BouchardAprès avoir introduit la Forte et la Koup, ainsi que la version refondue du Sorento, Kia revisite son Sportage devenu vétuste en regard de la concurrence. Cette génération, la troisième, permet davantage au constructeur de se mesurer plus sérieusement aux populaires Honda CR-V et Toyota RAV4, notamment. 
Kia propose aux acheteurs deux versions, soit LX et EX, à traction et à rouage intégral. Au point de départ, le Sportage 2011 utilise la plupart des composantes du Hyundai Tucson, lancé l’an dernier. Les concepteurs ont toutefois dessiné une carrosserie aux allures athlétiques qui évoquent celles de son grand frère le Sorento. Au dire des dirigeants de la firme, le Sportage devrait ainsi attirer des acheteurs plus jeunes que ceux du Tucson.

Une présentation soignée

Lorsque l’on monte à bord du véhicule, on remarque la présentation moderne, ainsi que la qualité des matériaux et de leur assemblage. La prise en main du volant inspire confiance. Les instruments de bord sont faciles à lire et les principales commandes tombent sous la main.
À l’avant, le conducteur et le passager prennent place sur des sièges qui fournissent un bon confort au fil des kilomètres. Les occupants de grande taille bénéficient d’un bon dégagement pour les jambes et la tête. La recherche d’une position de conduite ne pose par ailleurs aucune difficulté. Étonnamment, le volant télescopique n’équipe pas de série les versions LX, une caractéristique offerte par la plupart des concurrents, y compris le Chevrolet Equinox.
D’accès facile, la banquette arrière reçoit confortablement des occupants de taille moyenne. Les sièges n’offrent toutefois pas la modularité d’autres utilitaires comparables. Le dossier du siège du passager avant, par exemple, ne peut pas être rabattu à plat pour transporter des objets plus longs. L’espace utilitaire permet de recevoir 740 litres de bagages ou, lorsque les sections du dossier de la banquette sont abaissées, de 1 547 litres. C’est bien, mais Honda et Toyota font un peu mieux à ce chapitre.
Le véhicule reçoit de série une longue liste de caractéristiques de série : sièges avant chauffants, commandes audio montées sur le volant, technologie Bluetooth avec reconnaissance vocale et prises pour clé USB et iPod, rétroviseurs extérieurs dotés d’un rappel des clignotants, etc.

Une motorisation adaptée

Le Sportage utilise le moteur et les boîtes de vitesses du Sorento et du Tucson. Pour activer les roues du véhicule, Kia fait appel au 2,4 L de 176 chevaux. Au moment d’accélérer ou de dépasser, les performances suffisent dans la plupart des situations. Un peu rugueux au départ, il fonctionne avec discrétion à vitesse d’autoroute.
Seule la version de base LX à traction reçoit la boîte manuelle à six rapports. Si les rapports sont bien étagés, le levier des vitesses, lui, manque un peu de précision. Autrement, elle permet de bien tirer profit du moteur. La plupart des acheteurs opteront probablement pour la boîte automatique à six rapports, qui effectue son travail en douceur et efficacité.
Équipé de la transmission intégrale, le véhicule consomme en moyenne, selon les données du constructeur, 8,6 L/100 km. Une marque décente pour un véhicule de ce type.
Sur la route, la suspension procure un bon confort dans la plupart des circonstances. Elle amortit les imperfections de la route avec fermeté, ce qui engendre des secousses un peu plus senties, surtout en ville. J’ai toutefois eu le sentiment qu’il sautillait un peu que le Tucson. Sur la grand route, la suspension procure une belle douceur de roulement. Les versions EX profitent d’amortisseurs dont l’amplitude peut varier en fonction des conditions de la chaussée. Plus la surface est raboteuse, plus la suspension absorbe les inégalités avec souplesse.
En virages, quelle que soit la version, le Sportage réagit avec un bel aplomb. La direction à assistance électrique facilite les manœuvres de stationnement, sans pénaliser l’agrément de conduite à vitesse plus élevée. En matière de freinage, Kia a par ailleurs réalisé un excellent travail puisque les distances de freinage figurent parmi les plus courtes de la catégorie.
Le Sportage profite des caractéristiques de sécurité qui font actuellement la norme dont le contrôle de la stabilité du véhicule et le dispositif pour prévenir le capotage du véhicule. Lorsque le véhicule est équipé de la transmission intégrale, celle-ci peut acheminer jusqu’à 100 % de la puissance aux roues arrière ou jusqu’à 50 % sur la roue qui nécessite le plus de traction.
Un bouton permet de verrouiller le différentiel et de répartir le couple de façon égale entre les roues avant et les roues arrière, ce qui est fort utile lorsque le véhicule est embourbé dans la neige.
Pour un prix d’entrée de gamme de 22 000 $, Kia propose un véhicule intéressant en ce qui concerne son design, l’équipement de série, le rendement du groupe motopropulseur et la qualité du comportement routier. Contrairement à la précédente génération, il rivalise cette fois avantageusement avec les utilitaires compacts les plus établis.

Sous le charme du Kia Sportage

Par Sylvie Rainville
Il est mignon comme tout ! L’équipe de Peter Schreyer a fait un travail remarquable. En fait, le designer en chef et les membres de son équipe ont fait beaucoup plus, ils ont donné une image distinctive à la marque Kia. Examinez bien leurs dernières créations – les Forte berline, Koup et 5, le Sorento et le Soul – tous ces véhicules partagent des traits de famille communs, par exemple la calandre en museau de tigre, qui nous permettent de les reconnaître facilement en tant que véhicule appartenant à cette marque. Ils affichent tous une allure audacieuse. Cependant, chacun se distingue par des caractéristiques originales et des éléments de style exclusifs.
Mais il n’y a pas que l’apparence du Sportage qui a changé. Il est plus long, plus large et présente un empattement plus long. Ces nouvelles dimensions lui confèrent une meilleure stabilité sur la route. De plus, comme il est plus large et qu’il présente un empattement plus long que le Honda CR-V et le Ford Escape, il offre un meilleur dégagement pour les jambes, les épaules et les hanches que ces deux rivaux.
Par ailleurs, des améliorations notables ont été apportées à la suspension, ce qui rend la conduite beaucoup plus confortable. Les modèles EX disposent en plus d’un système d’amortissement sélectif à soupape coulissante. Dans des conditions normales, la soupape coulisse en fonction de l’amplitude pour permettre un roulement doux tandis que sur la chaussée irrégulière ou en virages, elle devient fixe pour offrir une plus grande force d’amortissement, une tenue de route supérieure et un meilleur contrôle.
Côté freinage, le Sportage possède des disques avant et arrière de diamètre supérieur, ce qui améliore la qualité du freinage et diminue la distance de freinage de plus de 2 mètres.

Un turbo à l’horizon

Le nouveau Sportage n’est pas proposé avec un V6, comme c’était le cas pour la version précédente. Cependant, le quatre-cylindres de base a été remplacé par une nouvelle génération du moteur Theta de Kia. D’une cylindrée de 2,4 L, il génère plus de puissance que le quatre-cylindres précédent et même plus que le six-cylindres.
À titre de comparaison, le V6 de 2,7 L de la génération antérieure développait 173 chevaux tandis que le nouveau moteur à quatre cylindres en produit 176. Toute une différence avec l’ancien quatre-cylindres avec sa maigre cavalerie de 140 chevaux.  Bien entendu, la sonorité du moteur est typique aux quatre cylindres, mais la puissance est au rendez-vous. Le véhicule ne traîne pas de la patte lorsqu’il s’agit d’effectuer des dépassements sur l’autoroute.
Les boîtes de vitesse automatique à quatre rapports et manuelle à cinq rapports ne font plus partie de l’équipement. On les a remplacées par des boîtes modernes et efficaces à six rapports qui contribuent à un meilleur rendement énergétique du moteur. La boîte automatique comporte un mode manuel. Quant à la boîte manuelle, comme mon confrère le faisait remarquer, le guidage manque de précision et, à mon avis, un peu de souplesse. Cependant, quand j’ai fait l’essai à long terme de la Kia Soul, j’ai remarqué que la boîte manuelle gagnait en souplesse au fil des kilomètres.
Ceux qui désirent une conduite un peu plus pimentée devront attendre encore quelques mois. Le modèle SX équipé d’un moteur à quatre cylindres de 2 L turbocompressé devrait faire son entrée chez les concessionnaires d’ici le printemps.

Consommation de carburant modérée

Quel que soit le type de boîte choisie et le mode d’entraînement – traction avant ou intégrale – le Sportage 2011 consomme moins que le Sportage 2010. Selon les versions, le véhicule améliore sa consommation de 12 % sur l’autoroute et de 21 % en ville. Sur l’autoroute, il fait mieux que les Toyota RAV4, Honda CRV et Nissan Rogue.  En ville, le Toyota et le Nissan l’emportent de peu, mais le Honda est derrière le Sportage.
Le nouveau moteur, les nouvelles boîtes de vitesse, l’aérodynamisme amélioré et le nouveau système de direction assistée par moteur électrique – une première pour le Sportage – contribuent à la meilleure économie de carburant.  D’autre part, la direction, quoiqu’électrique, fournit une bonne sensation de la route.

De la place pour les bagages !

Les sièges se replient aisément, surtout sur le modèle EX qui profite d’un système commandé par une seule pression des doigts. Selon le besoin, on peut rabattre une seule section de la 2e rangée de sièges, par exemple pour ranger la poussette de bébé et tous les sacs à provision, ou tous les sièges pour le grand pèlerinage au Costco.
Le volume de chargement passe de 667 L (Sportage 2010) à 740 L, ce qui devrait satisfaire la majorité des familles. Toutefois, la lunette arrière ne se relève plus comme celle des modèles 2010. Et comme le mentionnait Jean-Pierre Bouchard, le siège du passager avant ne se rabat plus à plat.

Ce que j’aime moins

Les clignotants, séparés des feux arrière, sont placés très bas sur le pare-choc. Si on suit de très près (on ne devrait pas le faire, mais…) on ne les voit plus. Heureusement, ils sont répétés dans les rétroviseurs.

L’équipement d’un modèle intermédiaire, le prix d’un modèle de base

Le modèle de base LX dispose de caractéristiques qu’on trouve habituellement sur un modèle intermédiaire, comme la climatisation, les roues en alliage de 16 po, les glaces électriques, les sièges avant chauffants et le régulateur de vitesse.
Les systèmes d’assistance électronique tels que l’antiblocage (ABS), la protection anti-capotage, la distribution de la force de freinage ainsi que les contrôles électroniques de la stabilité (CES), de démarrage en côte (ADC), du freinage en descente (CFD) et de la traction (antipatinage) sont tous offerts de série. Et pour couronner le tout, l’équipement de série comprend également la radio par satellite Sirius avec abonnement d’essai de trois mois gratuit et la chaîne sonore avec CD/MP3/USB  et prise audio auxiliaire.
Toutefois, mon cœur balance pour le LX à traction intégrale avec boîte automatique offert à 26 795 $. Son équipement gagne des longerons de toit, des pare-soleil éclairés, l’indicateur EcoMinder qui renseigne le conducteur sur sa consommation ainsi que le sonar de stationnement arrière – une caractéristique fort pratique en raison de la hauteur réduite de la lunette arrière. Par ailleurs, le pilier B très incliné nuit quelque peu à la visibilité latérale. Le volant télescopique ne fait pas partie de la liste d’équipement, mais je n’ai eu aucun mal à trouver une position de conduite adéquate.
En optant pour le modèle haut de gamme EX, vous gagnez, outre le volant télescopique, des sièges à réglage électrique, un volant gainé de cuir, des filets à bagage et un cache-bagages, un câble pour iPod et un ordinateur de voyage. Si vous choisissez la traction intégrale, le sonar de stationnement arrière est remplacé par une caméra de recul avec affichage dans le rétroviseur intérieur. 

Le luxe avec un grand L

Deux versions de luxe sont proposées sur le EX : EX-Luxe (33 195 $) et EX-Luxe (35 195$) avec navigation. Celles-ci sont dotées de roues en alliage de 18 po et elles profitent d’une panoplie de caractéristiques et de technologies, par exemple la clé intelligente avec démarrage à bouton poussoir, le toit ouvrant panoramique, la sellerie de cuir, un aileron arrière et des sièges chauffants et rafraîchissants.
 À l’équipement de la version EX-luxe avec navigation, s’ajoutent, bien entendu, le système de navigation ainsi qu’une chaîne audio haut de gamme à sept haut-parleurs.

Avec le nouveau SPORTAGE, Kia frappe un coup sûr

Par Guy Corriveau
Le Sportage 2011 se pointe en Amérique comme étant la troisième génération de la marque.  Jumeau mécanique du Tucson, le Sportage a toutefois droit à sa propre carrosserie qui présente des allures beaucoup plus contemporaine que celle de la précédente génération. Il affiche un look illustrant une silhouette agressive, musclée et bien de son temps. Comparativement à son prédécesseur, il est légèrement plus imposant autant en empattement, en largeur qu’en longueur sauf en hauteur. Ça semble être la tendance depuis quelques années, des VUS compacts toujours plus gros. La grille de calandre en museau de tigre du constructeur poursuit sa signature visuelle sur le Sportage. La ceinture de caisse est élevée avec une surface vitrée réduite vers l’arrière. Autre caractéristique particulière, les designers ont intégré les feux de direction dans le pare-choc arrière.

Un peu d’histoire

Le nom de Sportage n’est pas nouveau dans le parc automobile canadien puisqu’il était avec la Séphia l’un des deux modèles distribués au Canada lors de l’implantation du constructeur coréen, chez nous, en 1999.  Quand il est arrivé au Canada, le Sportage avait déjà 3 ans. La première génération a tiré sa révérence en 2002. Deux ans plus tard, est arrivée la 2e génération qui marquait un changement radical pour le Sportage.  La vocation du véhicule avait changé. La 1e génération, reposant sur un châssis de camion, était plutôt destinée aux gens qui utilisent leur véhicule hors des sentiers battus. À sa deuxième génération, le Sportage est devenu un multisegment utilitaire urbain, offrant une conduite plus raffinée sur les routes publiques.
Le Sportage 2011 est offert en trois versions, LX, EX et EX Luxe, toutes propulsées par le  moteur Theta II d'une puissance de 176 ch, à 4 cylindres et 16 soupapes, 2,4 L à DACT, le seul disponible. Il est accouplé à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports pour la version de base ou à une automatique à 6 rapports pour les autres.
D’entrée de jeu le véhicule est activé par les roues avant, cependant l’acheteur peut opter pour la transmission intégrale.Dans l’habitacleL’accès à l’habitacle est facile même si la garde au sol est plus élevée que celle d’une berline. Le conducteur et ses passagers apprécieront le dégagement autant aux places avant qu’arrière. Les sièges avant chauffants dont chaque modèle 2011 est équipé, offrent un confort satisfaisant et retiennent assez bien les corps en virage.
Le tableau de bord s’avère ergonomique et les jauges sont faciles à consulter. La colonne de direction inclinable et télescopique (EX) permet au conducteur de trouver la position de conduite qui lui convient. À souligner, un repose-pied bien positionné  ajoute au confort. Cependant, le gris/noir intégral de l’habitacle contraste avec le style dynamique de la carrosserie.
Pour augmenter l’espace de chargement, les dossiers séparés 40/60 sont facilement repliables à plat portant à 1547 litres l’espace disponible pour le chargement. Quant au hayon, il ouvre suffisamment haut pour éviter les blessures à la tête des grandes personnes
Petit bémol, la vision arrière en mode recul est rendue difficile par la superficie réduite de la glace arrière. Heureusement, le constructeur offre en option une caméra de recul qui facilite la tâche, laquelle je vous recommande. Sur la routeLes prestations du moteur 2.4L sont tout à fait honnêtes, ce qui justifie la décision du constructeur  de ne pas offrir de moteur à 6 cylindres. Le duo moteur et boîte automatique à 6 rapports forme un ensemble qui se complète bien. Durant l’essai, cette boîte semblait toujours trouver rapidement le rapport adéquat.
Le Sportage est équipé d’un système de freins à disque antiblocage(ABS) aux quatre roues et de contrôle électronique de stabilité. Ce système inclut également l’assistance de démarrage en côte qui aide à empêcher de reculer lors d’un démarrage en côte. Le contrôle de la motricité en côte lorsqu’il est activé, maintient la vitesse du véhicule durant la descente dans des conditions hors route par exemple, le tout offert de série dans tous les modèles. J’ai constaté que l'assistance de la direction fait parfois perdre un peu trop de sensations donnant l'impression que la direction est plutôt légère en virage long, mais répond mieux quand les virages sont plus serrés.
La suspension ni trop molle ni trop rigide, répondra à vos attentes si vous cherchez un véhicule offrant le plaisir de conduire surtout que le contrôle du roulis est assuré par des barres de plus gros diamètre.
Malgré que le choix soit particulièrement vaste dans ce segment, le Sportage peut compter sur la modernité de sa conception, un prix concurrentiel compte tenu de l’équipement de série et l’avantage d’être légèrement moins énergivore que ses concurrents. Et si ça ne suffit pas à vous convaincre, informez-vous du programme de protection totale de 5 ans de Kia. L’échelle de prix oscille entre 21 995 $ pour le LX à traction à six vitesses manuelles et environ 33 195 $ pour la version à transmission intégrale avec système de navigation et ensemble de luxe.         

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